
vendredi, février 11, 2005
Ode à l’obscure profondeur...
Ode à l’obscure profondeur de l’antre de la terre
Où je me suis loti pour y passer la nuit,
A la chaleur de la féconde nature
M’y trouvant bien, j’y suis resté en vie.
Abandonnant mon esprit aux âmes défraîchies
Vagabonder dans ces lieux si souvent violés,
Mes voisines oubliées, restées comme seule compagnie
Je m’en suis fait des amies, sans bruits ni pensées.
Elles et moi donc, dans ces couloirs étroits
À la recherche de je ne sais quel chemin,
Dans un jeu survolté du chat et de la proie
Nous avons continué sans se perdre des mains.
Noir couleur aux alléchants contours de l’idée
Image irréaliste infinie de la fatigue exténuée,
Jusqu’au mirage arrivé à l’oeil agressé
De la fente lumière par où j’avais pris pied.
Elles se sont retournées dans l’obscur dédale
Oubliant déjà pour d’autres voyageurs pris eux aussi,
Me laissant ainsi au monde extérieur de cris et de vandales
Avec ce seul souvenir, gravé dans mon esprit.
Où je me suis loti pour y passer la nuit,
A la chaleur de la féconde nature
M’y trouvant bien, j’y suis resté en vie.
Abandonnant mon esprit aux âmes défraîchies
Vagabonder dans ces lieux si souvent violés,
Mes voisines oubliées, restées comme seule compagnie
Je m’en suis fait des amies, sans bruits ni pensées.
Elles et moi donc, dans ces couloirs étroits
À la recherche de je ne sais quel chemin,
Dans un jeu survolté du chat et de la proie
Nous avons continué sans se perdre des mains.
Noir couleur aux alléchants contours de l’idée
Image irréaliste infinie de la fatigue exténuée,
Jusqu’au mirage arrivé à l’oeil agressé
De la fente lumière par où j’avais pris pied.
Elles se sont retournées dans l’obscur dédale
Oubliant déjà pour d’autres voyageurs pris eux aussi,
Me laissant ainsi au monde extérieur de cris et de vandales
Avec ce seul souvenir, gravé dans mon esprit.
dimanche, février 06, 2005
La mécanisation des esprits
Certes, quelque part en effet, le fait d’envoyer des robots au front à la place d’êtres humains évitera sans nul doute un bain de sang, en tout cas du côté de ceux qui auront les robots.
D’un autre côté, c’est dans la nature humaine de tuer son prochain. Si ce n’est à la guerre, ça sera ailleurs. Croire que l’avènement des machines pour faire la guerre permettra de ne plus tuer d’êtres humains, est une utopie.
Pour ma part, ce qui est peut-être le plus inquiétant, c’est bien la mécanisation des êtres humains eux même. Surtout depuis les débuts de l’age industriel ce phénomène s’accélère.
À l’heure actuelle, avec les nouvelles technologies c’est flagrant de plus en plus, et de manière de plus en plus rapide. Évidement la chose est tellement perverse, qu’on ne la voit pas bien, ou on n’y prend garde car le confort efface souvent la raison. Malheureusement c’est bien réel. Les cerveaux se modifient et évoluent au fil du temps avec ce qu’on leur apprend et fait faire. Pris de plus en plus jeune, la faculté de réflexion risque de devenir de moins en moins importante, et mécanique, avec en plus le confort et la difficulté à changer les choses, une fois en place et bien loti ou presque.
Les gestes, le quotidien, les actions, le travail, regardez. Posez-vous la question, pour vous en rendre compte. Ayez le recul, même si vous êtes dans un univers et un travail qui vous plait, lié aux nouvelles technologies ou autres médias stimulants de l’information, et l’informatique.
…..
….
"Les temps moderne" Charlie Chaplin de 1936 à revoir
D’un autre côté, c’est dans la nature humaine de tuer son prochain. Si ce n’est à la guerre, ça sera ailleurs. Croire que l’avènement des machines pour faire la guerre permettra de ne plus tuer d’êtres humains, est une utopie.
Pour ma part, ce qui est peut-être le plus inquiétant, c’est bien la mécanisation des êtres humains eux même. Surtout depuis les débuts de l’age industriel ce phénomène s’accélère.
À l’heure actuelle, avec les nouvelles technologies c’est flagrant de plus en plus, et de manière de plus en plus rapide. Évidement la chose est tellement perverse, qu’on ne la voit pas bien, ou on n’y prend garde car le confort efface souvent la raison. Malheureusement c’est bien réel. Les cerveaux se modifient et évoluent au fil du temps avec ce qu’on leur apprend et fait faire. Pris de plus en plus jeune, la faculté de réflexion risque de devenir de moins en moins importante, et mécanique, avec en plus le confort et la difficulté à changer les choses, une fois en place et bien loti ou presque.
Les gestes, le quotidien, les actions, le travail, regardez. Posez-vous la question, pour vous en rendre compte. Ayez le recul, même si vous êtes dans un univers et un travail qui vous plait, lié aux nouvelles technologies ou autres médias stimulants de l’information, et l’informatique.
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"Les temps moderne" Charlie Chaplin de 1936 à revoir
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